La dynamique 3D
Une stratégie de démocratisation des moyens de développement durable
Prérequis
La dynamique 3D, de Démocratisation continue des moyens de Développement Durable, est une stratégie dynamique de développement de nos capacités gouvernatique, de concrétisation continue du principe démocratique et du Développement Durable, chacun dépendant de l’autre. Bien entendu, ces outils conceptuels n’appartiennent pas à l’AB, l’association qui les propose, la synthèse formulée ici est une voie gouvernatique,comme pour toutes autres sciences, telle la physique, chacun et libre de faire des propositions d’optimisation de nos potentialités gouvernatiques, ici, comme n’importe ou ailleurs.
Le but de la gouvernatique, soit de l’AB, est donc la Démocratisation continue des moyens de Développement Durable, individuels, collectifs et globaux, le premier ses moyens étant la démocratisation de notre model démocratique, soit sa reformulation directement inter citoyenne, sans autres intermédiaires que les moyens ainsi définit. Et permettant la conscientisation de nos enjeux fondamentaux, de nos problématiques et de nos potentialités (plus importantes encore) et la mise en oeuvre de voix de développement humainement et écologiquement cohérentes.
La démocratisation des moyens de développement durable, et son avènement, implique une mise en synergie équilibrée, liant des trois dimensions essentielles : sociale, écologique et économique, intrinsèquement inter-connectées et inter-complémentaires, de manière indissociable.
La dynamique 3D définit une conjonction optimale entre la méthode et le protocole, le programme, la raison d’être et la manière, son besoin et de voir se réaliser pleinement la double disruption, un concept définissant le renversement vers le bon sens. Dans un contexte anthropique, il s’agit de de faire avec ce qui reste, les bases fondamentales, et de le faire bien…
Cette dynamique synergique est seule à même de permettre un développement conscient : la cohésion social, l’équilibre écologique et l’économie solidaire. L’objectif est, qu’à la racine, chaque action, soit conceptualisée et menée en prenant en compte, en synchronicité, ses conséquences, vis à vis de ses trois dimensions. L’expression « 3D » est employée pour illustrer cette mise en perspective. Elle désigne la promotion et la concrétisation de modes d’organisation, d’échange, conscientogènes.
Si un des sens de l’expression 3D est « Démocratisation des moyens de Développement Durable », elle implique plus que ses termes galvaudés et pernicieux peuvent contenir. Une redéfinition des termes fédérateurs est en effet essentielle : ….
Le projet 3D
Voici une présentation du projet 3D, qui mutualisant les projets 3D, constitue une proposition gouvernatique : d’organisation collective, pour la démocratisation de notre gouvernance : le partage équitable du pouvoir de définition de nos modes de développement ; de nos qualité de vie.
Contexte
Depuis 2005, l’Association Bernica (l’AB) recherche de manière indépendante (directement intercitoyenne, hors financements et autres orientations) les moyens d’optimisation de nos potentialités, pour une évolution consciente de paradigme, un développement humain, cohérent individuellement, sociologiquement et socio-environnementalement.
Pour plus d’info, voir le plan prévisionnel de l’AB, en amélioration collective.
L’enjeu est de développer ensemble une réponse pertinente aux défis collectifs et inédits de notre époque : ceux de l’anthropocène ; de la quatrième révolution de l’Information ; de la mondialisation et de l’amplification de méthodes pourtant officiellement définies comme « non durables », destructrices de sens et de vie. Méthodes qui imposent une hyperhiérarchisation sociétale : notre dépossession générale, culturelle, politique et territoriale ; de mémoire, de santé, de paix et d’intimité, alimentant un désastre socio-environnemental, anthropologique et naturel.
Par la conception et le développement de néoagoras (virtuelles et concrètes) : la constitution intercontributive de supports méthodologiques et structurels optimisant, en amélioration noétique continue, la pertinence démocratique. L’optimisation créatrice et logique, directement intercitoyenne, des moyens d’organisation, des recherches, des communications et des concrétisations des conditions de développement durable, de la paix et de la qualité de vie : la qualité noétique, conscientogène du lien humain et socio-environnemental. La mise en cohérence des conditions de richesse particulière et commune : la variété des spécificités locales, et la fertilité globale de l’équilibre, de leur harmonisation, de leurs échanges.
Il s’agit de nous outiller informationnellement et politiquement : de permettre la démocratisation de la définition de l’intérêt général et de la gestion du bien commun ; des enjeux et des outils de notre gouvernance : le libre accès à l’attention et à l’appétence nécessaire aux savoirs; aux connaissances et compétences, et aux conditions de conscientisation, à une qualité de vie noétique.
(D’autres synthèses, et les recherches qui ont conduit à cette proposition d’organisation collective, sont notamment disponibles, sur le blog de l’AB. éventuellement sous forme de draft. L’ensemble des propositions devant être maintenant, pour atteindre à leur cohérence démocratique et à leur efficience noétique, reformulées, enrichies, rationalisées, communiquées et expérimentées le plus collectivement possible.)
Champs de recherche
L’AB est un outil évolutif pour la recherche, la communication et l’expérimentation, des conditions de définition inter-citoyenne, des moyens permettant l’association noétique (sensée) de nos efforts : de nos recherches et données, de nos volontés, compétences, et logistiques. Elle est conçue de manière à être gérée en amélioration démocratique continue. Pour ce faire, elle est fondée sur le développement d’une méthodologie d’interaction citoyenne directe, sans intermédiaire institutionnel ou privé, ni hiérarchisation des capacités d’orientation de la qualité de rationalisation et d’action collective.
Son objet (celui de l’AB : de sa méthode de gestion : de démocratisation de sa, et de la, gouvernance), est d’être équitablement utilisable et adaptable par chacun. Comme les autres outils gouvernatiques, elle doit ainsi permettre de coordonner intercitoyennement la conceptualisation et la concrétisation d’un panel autonome d’outils, fonctionnels et évolutifs, conceptuellement et pratiquement complémentaires et interdépendants, condition sine qua non d’une citoyenneté, d’une démocratie, d’une institution cohérentes. Ce qui est aujourd’hui essentiel à la vie, à la démocratie, au sens du « droit », à la justice, à l’équité, à la liberté, à la fraternité et à la prospérité.
Sous sa forme associative (loi 1901 à but non lucratif) Plus d’infos l’AB participe notamment aux supports (méthodologiques, communicationnels et structurels) qu’elle a pour but de développer. En constituant néodémocratiquement des organismes pilotes, localement et globalement accordés et efficients, des ponts administratifs évolutionnels, aisément et largement reconnaissables et franchissables.
Sous sa forme conceptuelle, interfédérative, l’AB est définie par sa méthode d’organisation, applicable à d’autres structures, et par définition authentique, cohérente, logique, à tout secteur d’activité d’intérêt général. Elle est en effet définie métafonctionellement par son objet : l’amélioration continue de la concrétisation de sa raison d’être : celle du principe démocratique, et celle des institutions de définition et de gestion de l’intérêt général.
Ces différents supports sont reproductibles et adaptables ; spécialisables, sous différentes subtilités de formes, relativement aux spécificités locales et globales. Par l’amélioration continue de la concrétisation de leur raison d’être, ils optimisent conjointement les bénéfices locaux et globaux, sans hiérarchisation ou centralisation intermédiaire, en offrant à chacun des postes de pilotage politique deux postes de pilotage autoréglables:
Localement, supportés logistiquement par les ABL (associations locales), les supports originaux, particuliers, spécialisés, et interfédérés par la méthodologie générale, améliorée en continu par la concrétisation de son objet, de ses valeurs, de l’équité et de la pertinence de traitement des idées, à différentes échelles mais toujours avec la même interconnectivité, l’efficience du lien, l’intercohérence.
Et globalement, par l’ABI (association internationale), et par la même méthode, dé-hiérarchisant instantanément et noétiquement la démocratie : la définition de l’intérêt général et la gestion de sa concrétisation ; de la raison d’être des ressources communes; de manière directement interindividuelle à l’échelle internationale comme aux autres échelles – la synthèse étant définie méthodologiquement et qualitativement par l’ensemble des contributions.
Basé sur des éléments de logique fondamentale, cet ensemble forme une recette à vocation universelle, adaptable et en amélioration continue, vers l’autonomie citoyenne et locale, vis à vis des outils de définition et d’aménagement de la qualité de vie. Un support de fédération contributive, localement et globalement intercompatible et mutualisable. Soit une méthodologie d’enrichissement continu, elle-même en amélioration cyclique, proposée intercitoyennement à chacun comme outil noétique, de développement personnel et d’organisation collective, qui fasse sens, de manière transcohérente, individuelle et générale, locale et globale, rationnelle et empathique.
Cet outil est donc défini pour permettre le changement, individuel et collectif, de paradigme organisationnel : l’aménagement, directement internoétisé, de nouveaux modes d’organisation équitables, soit conscientogènes (qui permettent le développement de nos facultés humanisantes, anthropoliquement cohérentes: la conscience, la fraternité, la liberté et la créativité), démocratiquement légitimes, soit fédérateurs (qui permettent la cohérence et la pertinence des développements socio-culturels). Qui soient sans cesse mieux à même de répondre à nos besoins ; de concrétiser la raison d’être de nos principes fédérateurs et de nos logistiques collectives : le partage équitable du pouvoir, pour plus de liberté, d’égalité, de fraternité, la mise en cohérence de la raison d’être de nos contributions et de leur emploi – la démocratie véritable (la fin de l’hypocrisie collabototalitatriste qui nous abîme), pour plus de conscience, de capacité à vivre, de pouvoir de perception de vérité, de beauté, d’amour, de sens et de qualité de vie.
L’objectif de ces outils est en effet de créer du sens (de la valeur profonde ; de la richesse universelle) dans nos interactions socio-environnementales, soit une noétique sociétale, individuellement et politiquement conscientogène (génératrice de conscience). De permettre, de formuler, d’indexer et de hiérarchiser collectivement l’Information (ce qui « donne sa forme à l’esprit »), d’Intérêt plus Général que jamais : les problématiques, potentialités et propositions qui forment le corps social donnent sens au bien public et à l’organisation collective pour le développement collectif.
Pour être de plus en plus démocratiques (le plus possible accessibles et transparentes, favorisant l’optimisation de la concrétisation de la raison d’être, de la légitimité et de la fédérativité, de nos logistiques et contributions collectives) et ainsi efficientes (soit individuellement, intimement, utiles), les méthodes et outils logistiques de l’AB, laboratoire citoyen de démocratisation des moyens de développement durable, sont en amélioration continue, en cohérence avec les enrichissements contributifs pour l’équité d’accès au patrimoine humain matériel et immatériel, et avec la promotion des outils de conscientisation individuelle et collective (de contextualisation et de changement conscient de paradigme).
Conceptuellement comme pratiquement, il s’agit de favoriser ainsi la cohérence, la pertinence, la légitimité (l’efficience, dans le bon sens) de nos modes d’organisation professionnels et politiques ; de permettre la définition d’états des lieux objectifs de nos problématiques, comme de nos potentialités, soit de nos enjeux véritables – de démocratiser le sens et les termes du développement, du progrès, l’équité d’accès aux conditions de qualité de vie favorisant naturellement la prise de conscience, la liberté de pratiquer son art de vivre et d’être, son intuitivité, ses sens, ses facultés humaines, soit humanisantes, créatrices de sensibilité et de sens.
De manière intercompatible, aux différentes échelles interdépendantes: locales, régionales, nationales et globale ; individuelles, sociales et interculturelles. Favorisant la diversité et la fertilité des environnements, cultures et voies citoyennes, par l’harmonisation des rapports contributifs, la mutualisation des potentialités de libération et de développement des outils de recherche, de communication et d’expérimentation des moyens de Démocratisation des voies de Développement Durable – d’où le projet 3D: de démocratisation continue de la définition et de la gestion collective du politique (le progrès d’équité, des moyens de rationalisation et d’amélioration du contrat social, de contrôle de l’évolution et du partage du patrimoine commun.)
Voici un résumé du fruit des recherches contributives qui, à ce jour, forment une trousse à outils de notre néo-citoyenneté , soit des moyens pour la constituer ensemble, sans intermédiaire qu’une méthodologie cohérente, d’organisation collective, pour faire ensemble sens : définir néodémocratiquement l’état des lieux, l’intérêt général, nos vrais problématiques et potentialités, nos enjeux. Ce sont bien nos enjeux globaux, le sens de nos prises de conscience, qu’il nous appartient à présent de définir de la manière la plus consciente possible.
Une introduction à la Gouvernatique
La science qui permet le libre exercice des autres, et de nous même
étymologie
Au fil des travaux intercitoyens, quand aux conditions d’avènement d’un développement durable, aux causes des causes et solutions primordiales, les enjeux, nos besoins et moyens se précisant, on a choisi de nommer gouvernatique l’activité constituant à concrétiser le principe démocratique (le précepte fédérateur, la raison d’être institutionnelle, fiscale, légale, économique etc). Soit à rechercher, communiquer et expérimenter les méthodes de démocratisation concrète et continue de notre gouvernance. La gouvernatique est basée sur un protocole évolutif, maïeutique, en optimisation contributive permanente, pour l’amélioration continue de sa définition et de sa pertinence : des cycles d’optimisation de la qualité de recherche, de communication et d’expérimentation, vers plus de discernement, de liberté, d’égalité, de fraternité, d’équité d’accès à l’autonomie individuelle, au patrimoine commun, matériel et immatériel.
Pourquoi « gouvernatique ? » Le développement des TIC (Technologies de l’Information et de la Communication) redéfinissent les enjeux, et potentialités des sciences, permettent de les lier, en attendant de redistribuer les moyens, les savoirs et les rôles. Il a fallu créer les mots informatique puis géomatique pour définir les nouvelles potentialités des sciences de l’Information (soit étymologiquement, celles de l’esprit) qui redéfinissent profondément nos capacités d’organisation individuelles et collectives, nos enjeux ; problématiques et potentialités politiques – en fait, le politique par excellence, par définition, est transcendé. De même, que le terme géomatique rend compte du fait que les TIC transcendent la géographie de la compréhension du territoire, du bien commun par excellence, de la définition et de la gestion de ses potentialités et problématiques, la gouvernatique née de nos nouvelles potentialités de concrétisation de nos principes fédérateurs, pour définir l’art de les optimiser. On peut également dire la coordonatique ou la démocratique. En attendant de trouver mieux, pour définir l’essentiel, l’activité elle même. L’important est de convenir d’un terme qui permette de définir une jonction entre l’individu et la politique le local et le global. Exprimant les nouvelles possibilités apportées par la quatrième révolution de l’Information.
La définition et la gestion du bien commun, les modes de recherches, de communications et d’expérimentations collectifs sont à redéfinir fondamentalement, en cohérence stratégique avec la situation. Du bilan de la disruption publique, citoyenne, dont les hyperpouvoirs mondiaux ont ôter less potentialités traditionnelles. La ruine du patrimoine collectif et du libre arbitre collectif et individuel est précisément due au retard de développement des sciences néonoétiques : gouvernatiques, géomatiques, néoéconomiques.
C’est cette nouvelle autonomie citoyenne, cette équité politique, ou redistribution des pouvoirs d’autodétermination, qui, en permettant une redéfinition du statut de citoyen, nous offre une nouvelle qualité de vie individuelle et sociale, un nouvel axe de développement, de redéfinition de nos potentialités et de nos valeurs. Une concrétisation continu du principe démocratique, soit une décentralisation des choix individuels et collectifs jusqu’à l’individu, actuellement dénié de sa capacité noétique, de sa dignité humaine, floué et exploité par d’autres, également en condition de perdition, d’hubris exponentiel.
Cet ajournement de nos méthodologies contributrices est en effet nécessaire
Le pire danger, les pires crimes et pertes d’Humanité sont proportionnellement conséquentes à sa hiérarchisation sociale celle-ci est aujourd’hui inédite. C’est précisément pour être fondées sur le déni de bon sens, d’incohérence, d’inefficience et d’illégitimité, que sont corruptrices les méthodes et représentations qui imposent à chacun un rôle absurde et spécificateur. C’est bien l’écart de pouvoir des uns sur les autres, qui dans des proportions maintenant industrielles, inédites (comme pour celle du sucre dans notre environnement), rend fou, barbare. Pouvoir aberrant, désempathisant (rendant psychopathe), dépossession noétique des moyens de conscientisation, d’humanisation, impliquant la destruction de ce qui fait sens, rendant cyniques et fatalistes, fanatiquement et maladivement égoïstes les victimes de son asservissement.
Car il s’agit bien de la révolution de notre gouvernance, de nos capacités d’organisation, de manipulation, de gestion de soi, d’autrui, et de l’environnement commun: enjeux de définition sociétaux, sociologiques, psychologiques, en un mot anthropologiques. Il s’agit de modifier radicalement l’identité individuelle et collective, d’éviter la prise de pouvoir des uns sur les autres, la corruption empathique, individuelle et sociétale, la guerre.. De permettre la prise de pouvoir sur soi, sur sa vie et ses conditions d’épanouissement et d’harmonisation avec l’environnement.
Si l’élection d’un candidat est considérer comme un outil démocratique, son indice gouvernatique est infiniment plus faible que le vote pour des idées, et que la coconstruction des propositions d’intérêt général. La proposition 3D, et ses supports de capacitation, sont d’un indice gouvernatique qui n’est pas seulement plus cohérent, mais qui est est la cohérence de base, du nouveau paradigme qu’il introduit. Néodémocratique, la pratique de la gouvernatique, permet la définition d’outils organisationnels ; méthodologiques, médiatiques et structurels (logistiques), essentiels à la démocratisation des moyens de développement durable, à une évolution politique humainement cohérente. Elle est l’héritage de nos efforts transgénérationels pour un monde plus juste, bon beau et vrai. Son objet est de permettre le développement de laboratoires collectifs, contributifs, de recherche des moyens d’équité citoyenne, de partage du pouvoir, de définition du développement, du bien et de l’intérêt communs. Du local au global, par les AB Locales et l’AB Internationale.
La pharmacopée 3D, ou gouvernatique de l’AB
En synthèse, sa raison d’être est la Démocratisation continue du Développement Durable (3D), de sa définition et de ses moyens, par un réseau citoyen intercontributif (transversal et interculturel), le Réseau 3D. Cette mise en synergie implique la mutualisation de trois secteurs d’activités, de trois plans de travail, points de vue complémentaires et interdépendants : les Recherches, Communications et Expérimentations (RCE), qui s’enrichissent, et lient la recherche au développement conscient, individuel et collectif, localement et globalement. Permettant à l’expérimentation développementale collective de se faire humainement, intelligemment et légitimement ; de favoriser le développement du lien social et socio-environnemental, un développement culturel rationnel et sensible.
Les 3 Dimensions interdépendantes du développement conscient sont les piliers de la gouvernatique ; les champs de développement RCE majeurs de moyens 3D : « Méthode 3D, Média 3D, et Structure 3D », qui ensemble référencent, lient, développent et optimisent nos outils de conscientisation des enjeux collectifs, de concrétisation de nos potentialités.
Cette entreprise de définition collective du statut et du pouvoir du citoyen (des moyens de recherche du sens, de la vie pour chacun, et du progrès pour tous) nécessitent des moyens méthodologiques, médiatiques et logistiques :
Méthode 3D :
-Les RCE des méthodologies 3D (les recherches, communications et expérimentations collectives, des méthodologies de démocratisation des moyens de développement durable), contributives, de fédération des apports citoyens, des secteurs d’activités complémentaires, indissociables d’un développement démocratique et conscient.Média 3D :
-Les RCE de développement des supports médiatiques, de rationalisation et de conscientisation collective, de gestion de l’information d’intérêt général. La block chain a résolu les problématiques de suivi et d’anonymat des données et contributions.Structure 3D :
-les RCE de développement des supports structurels, administratifs, logistiques et spatiaux (in situ), adaptables et reproductibles, permettant les RCE de définition 3D (Recherches, Communications et Expérimentations citoyennes, de Démocratisation du DD), localement et globalement : le développement du lien humain et environnemental ; des AB Locales, de l’AB Internationale, et des supports de leurs économies contributives fédératrices.
L’essentiel de trousse à outil gouvernatique
La discipline : La Gouvernatique : concrétisation continue du principe démocratique (Une science conscientogène, maïeutique, politique
L’objet : 3D : La Démocratisation des moyens de Développement Durable ; de la gouvernance; de capacitation citoyenne. Objet dépendant et déterminant de la gouvernatique
La méthodologie : trilogique :
Recherche et développement noétique continus: Les cycles RCE : cycles d’amélioration continue de la démocratisation, de la cohérence et de la qualité des Recherches, Communications et Expérimentations, d’outils 3D ; de la gouvernatique (Nous sommes en phase de Communication du premier cycle RCE)Le support de démocratisation de l’ontologie de l’information : La logique P6 : de définition de l’intérêt général, de nos voix ; du vote « représentatif » à la proposition politique citoyenne – équité d’établissement des constats (Problématiques, Potentialités et Paradoxes) et des propositions (Priorités, Protocoles et Programmes).
Le protocole économique distributif 3/3 gagnant: Le protocole 3/3 : d’échange intercontributif intercohérent, de partage transnoétique des ressources temporelles, énergétiques et spatiales
Le programme 3D : de développement synergique des potentialités de RCE : Méthode 3D, Média 3D et Structure 3D, 3 programmes évolutifs et interdépendants d’aménagement des plans de travail et de l’outillage citoyen
La logistique territoriale : les néoagoras : L’AB, purement gouvernatique, les ABL (locales) et l’ABI (Internationale) : laboratoires gouvernatiques citoyens, structures de concrétisation des RCE 3D. De décentralisation, d’expertise et d’optimisation des potentialiés locales, de partage global des enjeux, et de fédération des interparticipations. Maisons des savoirs et transmissions, espaces de vie sociale, support de RCE, pour l’organisation et l’expérimentation concrète des voies de développement durable de notre qualité de vie
La Boussole : Le Label HQSE (à Haute Qualité Sociale et Environnementale) : rationalisation démocratique, transparente, du développement, des voies économiques (modes de partage et d’échange, de consommation, d’organisation…), génératrice de biens communs, de libertés intercontributrices. Le label HQSE est défini par les P6, les RCE 3D et les outils médias 3D, qui contribuent notamment au développement et au classement des savoir-faire capitalisés dans le SFH (encyclopédie pluri-ontologique des Savoir-Faire de l’Humanité) et de la 3D base (outils de gestion citoyenne de l’information d’intérêt général)
L’outil de développement socioéconomique démocratique: Les SCIC HQSE, coopératives 3D d’économie contributrice. Ce sont les interfaces évolutives d’expérimentation concrète du meilleur des rationalisations citoyennes (guidées par les RCE du label HQSE).
I Méthode 3D
Une méthodologie de concrétisation continue du principe démocratique ; de conscientisation et gestion intercitoyenne des enjeux collectifs : Recherche, Communication et Expérimentation des moyens de Démocratisation des voies de Développement Durable, de définition et de traitement de l’information d’intérêt général, d’établissement intercontributif de nos problématiques et de nos potentialités, d’optimisation et de concrétisation des rationalisations en cohérence avec les principes fédérateurs de liberté, équité, bien-être, raison d’être de nos contributions et des modes d’organisation et de communication, de nos logistiques institutionnelles d’intérêt général.
Trois principes fondamentaux sont complémentaires et interdépendants pour assurer cohérence, pertinence et démocratisation : la méthode P7 de définition de l’intérêt particulier et général, et le protocole RCE d’optimisation de nos capacités de rationalisation collective, et le processus 3/3, de définition et de gestion consciente du potentiel commun. Liés, ces outils permettent l’efficience et la légitimité démocratique des rationalisations de développement collectif, soit des recherches, des communications et des expérimentations d’intérêt général.
L’amélioration continue des procédés est notamment favorisée par le bénéfice des RCE Méthodes 3D. Ce Pôle de Recherche 3D, des moyens méthodologiques de constituer des outils noétiques, est à articuler, dans le temps et la forme, avec le développement fondamentalement interconstitutif de ses voies de Communication et ses champs d’Expérimentation. La fructification et la jouissance réelle des contributions intercitoyennes directes, le changement pratique, l’évolution culturelle attendue, sont concrétisés et optimisés par le développement du pôle Média 3D et des Structures 3D (espaces et outils logistiques dédiés).
La méthode P7 (ou logique, analyse, Proposition P7) est un outil d’articulation du raisonnement, permettant d’établir un état des lieux et une proposition d’action, de manière à optimiser son exploitabilité en terme d’intérêt général. Elle est d’utilité collective et génératrice d’enrichissement contributif. On l’appelle P7 parce qu’elle permet l’identification des champs d’expertises nécessaires à un état des lieux cohérent, pour une Proposition efficiente, solide, cohérente, soit : les Problématiques, Potentialités, et Paradoxes qui établissent le constat et le référentiel (peu importe leur ordre), puis les Priorités, le Protocole et le Programme qui défissent la proposition d’action, sa méthode et son agenda. La méthode P7 est un outil d’optimisation de la visibilité et de la mutualisation de nos potentialités; cette articulation de la raison est une maïeutique de l’esprit. Elle permet à chacun de formuler sa proposition d’intérêt général, et ensemble, d’indexer, de lier et d’expérimenter les meilleures méthodes de mutualisation et de concrétisation des intérêts particuliers et de l’intérêt général, de manière infiniment plus pertinente et cohérente que par les méthodes actuelles de “recherche et développement” collectives. La méthode 7 est donc un support d’optimisation de la cohérence et de la pertinence, de la définition ontologique des enjeux particuliers et collectifs, de « l’intérêt général ».
Le protocole RCE (ou la méthode 3D) est la méthode d’optimisation concrète et continue de nos potentialités (dont la définition est optimisée par la méthode P6). Les RCE constituent une méthode de démocratisation du traitement des constats et propositions; elles permettent à chacun de faire interagir et de développer, à toute échelle, sa proposition, notamment d’amélioration des méthodes 3D. C’est un cycle continu de Recherche, Communication et Expérimentation des conditions de Démocratisation des moyens de Développement Durable : une méthodologie basée sur sa démocratisation et son amélioration continue, qui donne le temps de conscientiser, de faire sens, en liant cycliquement les différents états de l’être, en vue d’améliorer la rationalisation, d’atteindre une humanisation continue, plus librement contributive, plus riche, synesthésique et conscientogène.
Le protocole RCE est le principe de développement évolutif continu, moteur de la méthode 3D, du poste citoyen, de pilotage politique, de l’appareil gouvernatique, dont le flux énergétique est l’optimisation contributive des potentialités; des P6 ; de la définition et de la gestion des enjeux collectifs.
Ce document (et d’autres versions aux ontologies complémentaires à la démocratisation de cette proposition à vocation universelle, de cette voie de développement local et de cette méthode de coopération collective pour la gestion du patrimoine collectif) constitue le Cycle RCE n°1, phase de Communication des Recherches pour l’Expérimentation des moyens de concrétisation continue du principe démocratique.
Le processus 3/3 équilibre lui les points d’attentions pour une vision d’ensemble cohérente, une perception du référentiel le plus conscientogène. (en cours d’intégration…)
Les trois phases complémentaires des RCE sont dévolues à la Démocratisation des moyens de Développement Durable : aux trois plans de gestion consciente des enjeux, individuels- collectifs-politiques ; socioculturels et environnementaux. En bref :
– Le Développement: (La définition démocratique du terme !) La bonne gestion des potentialités et des problématiques. Le choix des modes de fonctionnement concrètement (humainement) pertinents, de leur évolution continue, en fonction des progrès culturels et technologiques : les capacités de mutualisation des logistiques ; la rentabilité des modes de gestion des contributions collectives, des données et des efforts. La recherche de qualité de vie : La gestion du bien commun, de partage, de préservation ; la définition des procédés médiatiques, agroalimentaires, économiques et énergétiques, sanitaires et pédagogiques, humainement cohérents…
– La « Durabilité »: (La cohérence des protocoles politiques) : La gestion des urgences, des capacités à faire évoluer les procédés dangereux et obsolètes. L’anticipation des impacts individuels, sociologiques et environnementaux (démocratisation des SIG – Systèmes d’information géographique – de la géomatisation citoyenne des problématiques, des potentialités territoriales et propositions). Les outils de mise en transparence et d’accessibilité des méthodes de gestion du bien collectif, des contributions de chacun, d’ergonomisation citoyenne de la politique, de définition du contrat social ; à échelle humaine, de la gouvernance, de la démocratisation des choix de promotion médiatique des actions non durables, et de la valorisation des données, des savoir-faire et des initiatives pertinentes en terme d’intérêt général… La liberté ; démocratisation des médias, de la fabrication collective et transparente de l’information d’intérêt général, des NTIC, en continu.
– La Démocratisation: (La concrétisation continue du principe fédérateur : la démocratie) : des outils de définition et de gestion des enjeux humains et civilisationnels : la démocratisation de notre gouvernance, de celle du bien commun. HYPERLINK « http://blog.association-bernica.net/gouvernatique/ » d’équité gouvernatique. L’Egalité permet la Fraternité, la Liberté : la liberté sociale (sociétale, civilisationnelle) dépend des conditions d’humanisation de la civilisation: justice sociale et liberté individuelle, équité des pouvoirs de gestion territoriale et socioculturelle, accès au patrimoine de l’humanité, aux progrès matériels et immatériels, comme à un milieu sain (à un air, une eau et un sol naturels, à la biodiversité et aux paysages) et à la connaissance (Histoire, sciences, culture, art ; aux outils, à la pratique et aux savoir-faire …).
Détail des cycles RCE
I / RECHERCHE : Audit Transversal ; Réseau 3D
La Recherche (la Démocratisation) de modes de développement des outils techniques et protocolaires de gouvernance participative : d’intercompréhension et de conceptualisation des enjeux du DD et de solutions fédératrices et interparticipatives.
Les activités de recherche (comme de communication et d’expérimentation) s’articulent en trois phases complémentaires au DDD:
Le Référencement consultatif des problématiques, des potentiels et des paradoxes du DDD.
La Recherche transversale de solutions, le développement des outils de mutualisation des données et des logistiques, des liens interculturels, intergénérationnels, intersectoriels ; et ontologiques : intercitoyens.
La Rationalisation collective des enjeux : développement des supports de mutualisation des analyses et réflexions.
II / COMMUNICATION : Échanges interontologiques ; Médias 3D
La communication (la définition de la Durabilité) s’articule, suivant le protocole de production contributive de « 3D prod », par le développement d’outils :
De Consultation publique (audit transversal), de transfert des informations et des savoir-faire, vers la mise au point de plateformes de travail collectif.
De constats ; compte-rendus multimédias du fruit des recherches et du référencement institutionnel et citoyen.
De Contextualisation des données : mise au point d’ontologies spécifiquement adaptées à la communication et à la rationalisation contributive des enjeux sociaux et territoriaux; développement citoyen de NTIC (Nouvelles Techniques d’Information et de Communication ), en particulier les SIG (Systèmes d’Informations Géographiques), de tutoriels multiculturels…
III / EXPÉRIMENTATION : Concrétisation des moyens de démocratisation de modes de développement durable ; Structures coopératives 3D
L’expérimentation (le Développement) comprend également trois phases:
– L’Étude collective des procédés éthiques mis en relief par la contextualisation (étude des conséquences relatives des procédés référencés … sur la santé, la culture, la consommation… l’intérêt général).
– L’Évaluation transversale et transparente des techniques.
– L’Évolution des stratégies en fonction des observations de terrain et des progrès du Réseau 3D…
II Média 3D :
Le développement des outils et méthodes d’information et d’expression citoyenne propres à la démocratisation de la définition de l’intérêt général : soit au référencement et à la communication, contributive et multimédia, des savoir-vivre « durables » – de développement humaniste et écologique, d’autonomie individuelle, d’échanges libérés des pouvoirs antidémocratiques – les plus propices aux RCE, ç.à.d. à la démocratisation de la définition du bien commun et de l’intérêt général. Réalisation d’applications, d’un web, d’un google citoyen… d’une base de données, des protocoles contributifs de démocratisation de l’indexation, de la modération et de la formation des données publiques, les Hyper-dossiers SIG des RCE… les outils de démocratisation médiatiques de 3D prod…
Le mot Information désignant « ce qui donne forme à l’esprit » (comme dit Michel Serre), il serait absurde, voire non néguentropique (comme précise Bernard Stiegler) d’en limiter l’influence. Surtout si l’on considère que nous sommes dans la situation, humainement inédite, de découvrir et produire les effets de la quatrième révolution de l’information, où tout le monde devient une boîte de prod. pluriontologique.
III Structures 3D
Le développement de liens, de structures administratives et d’espaces multi-formats (institutionnels, universitaires, privés, associatifs, coopératifs, etc.) reliés par la pratique de la méthode 3D (les RCE et la logique P7) : Pour la mutualisation des efforts gouvernatiques, des définitions de nos problématiques, potentialités et propositions. Pour un développement naturellement, humainement et écologiquement conscient, cohérent, vivant et noétique. Pratiquement il s’agit de structures sous des formats pleinement adaptables aux spécificités et équilibres locaux, pour mieux les conscientiser et les vivre à cette échelle, mais aussi pouvoir garantir leur reconnaissance et protection, sur le plan des décisions globales, ces dernières affectant de plus en plus chaque localité. C’est le rôle des ABL (AB Locales) et de l’ABI (AB Internationale) que de répondre à l’enjeu du fameux « penser global pour agir local » (et vice versa, bien entendu) : de permettre “l’équitabilisation” gouvernatique continue ; de permettre à chacun, de plus en plus consciemment, de participer à chaque niveau de gestion des paramètres, déterminant politiquement et noétiquement son existence:
L’AB est une association de RCE des voies gouvernatiques, elle Recherche, Communique, et Expérimente, les moyens de le faire plus démocratiquement, pour la le développement de la dynamique 3D, de Démocratisation du Développement Durable. Soit les conditions de sa démocratisation noétique continue. Son objet est la programmation de son obsolescence, par le codéveloppement de supports pertinents.
Les ABL sont les outils locaux de RCE 3D, typiquement des associations aux statuts et fonctionnement en démocratisation continue, qui permettent de faire vivre et interagir des projets particuliers. Elles sont gérées et liées par l’aménagement de corps de développement gouvernatiques, pour l’amélioration continue de leur pertinence locale et de leur contributivité (qualité de leurs échanges) globale. elles forment ensemble, des supports logistiques de démocratisation de l’ABI.
L’ABI est l’organe qui permet une démocratisation internationale de nos choix de développement aux conséquences globales: la prise en compte équitable des volontés de chacun, à chaque niveau de gouvernance, et la rencontre interculturelle de nos travaux locaux; la mutualisation des RCE des ABL : sa démocratisation propre et de la gestion du patrimoine commun, issue de la rationalisation collective du meilleur de l’ensemble des propositions P7, au travers de ses cycles RCE. Ces structures sont les espaces, pratiques, administratifs et numériques, dédiés aux RCE: aux recherches, communications et expérimentations concrètes, à la recherche et au développement de meilleures qualités d’organisation collective.
Le reste de la trousse à outils gouvernatique: les atouts pratiques, aux potentialités structurées, optimisées et mutualisées, par la méthode 3D, les ABL et l’ABI.
Le label HQSE (à Haute qualité sociale et environnementale) a pour but de définir ensemble les meilleurs procédés (savoir-faire) et ainsi de pouvoir optimiser l’impact des partenariats, comme l’aménagement et le fonctionnement des SCIC* HQES (*Sociétés Coopératives d’Intérêt Général – un format qui semble pertinent, mais peu importe leur appellation, ce qui compte c’est la démocratisation de la définition de leurs statuts et des outils de leur gestion et de leur transparence, de l’étude et de la programmation de leurs impacts sur nos vies). Il s’agit de développer l’étude collective (transversale, interculturelle) des conséquences des différentes activités et des moyens les plus propices à la pleine définition et au développement de la qualité de vie. Ce label comprend différents paramètres complémentaires, et permet l’indépendance des labos, des analyses, des observatoires, … la démocratisation d’outils de gestion transparente, d’un guide noétique proactif : un référencement, une hiérarchisation et une mise en synergie des modes d’activités et de consommation, les moins destructeurs (lowentropiques), les plus intelligents, soit les plus conscientogènes possibles. Notre « que choisir et comment faire, pour s’en régaler vraiment », favorisant la promotion et le développement cohérent des fruits de nos recherches et expérimentations, la prise de conscience collective de leurs enjeux …
Les SCIC HQSE sont les organes de concrétisation des bonnes pratiques socio-économiques (de gestion, de production, de consommation, de développement) retenues par les recherches de définition de la HQSE (en somme, des RCE, par la P7 bien sûr). Il peut s’agir, par exemple, de Sociétés Coopératives à Intérêt Collectif, un modèle qui dépend de son objet et de ses statuts, ou d’entreprises de formats divers, le label et les SCIC constituant un pont méthodologique vers des pratiques en amélioration continue. Le pôle RCE « méthode 3D » a précisément pour rôle de pouvoir définir démocratiquement les bonnes pratiques, soit les bons objets, statuts, outils méthodologiques et technologiques, de transparence et d’interaction, de cohérence contributive, de contrôle démocratique, de certification* …, en fonction des recherches citoyennes, pour un label-guide HQSE. Cette étude collective, transdisciplinaire, permet de se donner les moyens de se développer en cohérence intellectuelle, spirituelle, et pratique ; économique, au sens large.
(*Telle que la blockchain , qui permet la concrétisation de nouveaux modes organisationnels, la traçabilité et l’anonymat des données, la rénovation démocratique de la quatrième révolution de l’information.)
Le SFH et Myteam : Le SFH est l’encyclopédie multimédia des Savoir-Faire de l’Humanité, traditionnels et innovants, du développement durable. Couplé au recherches du Label HQSE, défini au travers des mutualisations des travaux des ABL, il apporte des outils de perception de ce que l’on peut nommer « développement durable », un référencement contributif démocratisé, pluriontologique, des savoirs, du patrimoine humain. Le SFH est l’organisation de la pierre triangulaire philosophale ; de métanoétisation et de transmission des savoir-faire ; des savoir-vivre, des arts d’être au monde.
Myteam est d’abord une application dédiée aux échanges et à l’organisation collective, à la coordination directe, à différentes échelles de productions communes (techniques, artisanales, etc. favorisant l’échange de service, la diffusion et la concrétisation de propositions d’activités collectives, de recherche, de conception, de réalisation,… ; l’organisation d’évènements culturels, de rencontres sportives, etc.). Cette application permet d’étudier la mise en pratique des différents modèles d’échanges, d’économies, recensés dans le SFH et le guide HQSE, en s’appuyant éventuellement sur les structures 3D, ABL, SCIC 3D, à même d’être pertinentes pour le montage et la concrétisation des projets.
SENSHART et le Théâtre Lumière : Partant du principe que la créativité, l’inspiration, sont conditions essentielles d’un changement de paradigme, ces deux outils s’y consacrent pleinement. Ils sont à la recherche des conditions de créativité sociétale, d’expression citoyenne des problématiques, potentialités et alternatives potentielles – des arts de vivre. Senshart est une coopérative d’optimisation du potentiel artistique, et le Théatre Lumière est un projet d’événement culturel cyclique, de festivals intercitoyens, itinérants, autogérés, permettant à chacun, par contributivité et transmission des savoirs, au travers de l’écriture et de la réalisation collective des « contes lumières », de contribuer librement, notamment ludiquement, à l’expression populaire des besoins et des idées … Et ainsi d’apprendre maïeutiquement, en se faisant plaisir, à potentialiser ses capacités de gestion de ses scénarios de vie, son pouvoir démocratique. En injectant encore, plus consciemment et quantiquement, de l’art dans nos vies, de l’humanité dans nos sociétés et nos êtres. Car c’est bien l’art qui fait l’Homme, le définit anthropologiquement (-entropiquement), comme un génie de l’adaptabilité, par l’amovibilité de son attention, sa capacité de se rendre disponible au génie cosmique, à véhiculer sa conscience quantonoétiquement (ce qui est bien pratique dans l’absolu : le sens du bon sens, de l’artistique noétique, le fil de l’intuition philosophale, du conscientogène…)
L’Unitic : Le développement d’échanges contributifs RCE interuniversitaires, et d’universités aux méthodologies d’apprentissage alternatives aux dynamiques de « développement » non durable, adaptées aux NTIC, de trans-méta-définition des enjeux nouveaux, capables d’optimiser les TIC, qui définissent maintenant radicalement le sens de nos existences, individuellement, socio-culturellement et anthropologiquement.
C’est un outil d’apprentissage collectif, cohérent, au service de l’Homme par l’Homme, utilisant pleinement tous les savoir-faire, traditionnels et innovants, pour optimiser contributivement, de manière intergénérationelle et interculturelle, le transfert des connaissances et des compétences. Qui permet à l’Homme de pratiquer les compétences qu’il veut vraiment développer, noétiquement, tout en inscrivant son effort, son travail théorique et pratique dans la construction concrète du monde dans lequel il veut vivre, par sa participation aux recherches et au développement des projets démocratiquement fédérateurs, et à la perception générale des liens généraux.
Articulés sur le protocole RCE et la capitalisation des thèses P6, les exercices, ou pratiques d’apprentissage, sont basés directement sur les besoins, autodéterminés, de nos qualités de vie, en renforçant nos capacités de définition propre du sens des choses et de leurs développements : Apprendre à changer de paradigme et à choisir. Ceci en lieu et place de l’actuelle hyperhiérarchisation sociale et métagestionnaire qui favorise les méthodes, les causes et les conséquences du « non durable », et qui nous prolétarise, conditionnant chacun à être compétitif et « performant » avec la conséquence absurde de tout ruiner, de se spécialiser jusqu’au néant. D’où la perte d’une force immense, créatrice, vivante et brillante : la nôtre.
3D explorer, 3D School, Ethic-Trade, Senscity …, sont des exemples d’extensions naturelles aux secteurs majeurs de nos activités, qui étudient les meilleurs moyens de voyager, d’apprendre, d’échanger et de commercer, en favorisant l’enrichissement collectif et celui du patrimoine commun, la diversité culturelle et écologique.
En Résumé
Le développement du type de concepts, de méthodes et de structures organisationnels abordés ci-dessus permet notre capacitation citoyenne : la capacitation démocratique d’un corps social par la prise en main et en conscience individuelle des enjeux et des pouvoirs contributifs.
Les trois objectifs, de développement des capacités méthodologiques, médiatiques et logistiques de la méthode 3D (de Démocratisation des voies de Développement Durable) sont les piliers de la gouvernatique.
Ils sont l’objet des ABL et de l’ABI (espaces locaux et espace international de démocratisation, soit de citoyennisation, de la définition et de la gestion du patrimoine commun), et des outils coopératifs, intercontributifs, de démocratisation des secteurs d’activités formulant le développement collectif du lien social: la cohérence sociétale.
Ils sont animés par les cycles RCE, de Recherche, de Communication et d’Expérimentation, d’amélioration continue de la qualité de rationalisation intercontributive du développement.
Ils sont démocratisés, précisés et améliorés, en continu, par les études et rationalisations des analyses P7, permettant de définir et mutualiser, en cohérence et pertinence, les propositions citoyennes (problématiques, paradoxes et potentialités d’une part; priorités, protocoles et programmes d’autre part) les plus à même de permettre un développement humain, littéralement sympathique – l’harmonisation des différents champs phares de RCE.
Or, une solution localement pertinente, pleinement adaptable et spécifiable, peut maintenant nous concerner globalement et voir ainsi se généraliser ses atouts universellement fonctionnels. En effet, si celle-ci répond aux enjeux locaux, c’est qu’elle peut remédier aux mauvais effets du « mondialisme», ceux-ci étant, par définition, de plus en plus, partout les mêmes, ou de même cause. Dans ce contexte néanthropologique (une autre façon technique de dire “qui détruit le bon sens, jusqu’au plus profond de nos êtres, à l’échelle de l’espèce tout entière), une bonne méthode néguentropique (sensée, noétiquement et néotiquement, dans la forme et le fond), menée au bout de ses potentialités, peut tout changer pour le meilleur, en optimisant ses capacités contributives de démocratisation/fédération, menant logiquement au développement de ses autres supports, complémentaires, de conscientisation.
Cependant, le développement synergétique de l’ensemble du panel de solutions que constitue le programme 3D (les racines universelles et la méthodologie polliniques communes des ABL ; le sens commun et la raison citoyenne de l’ABI) est pertinent puisqu’il permet de capitaliser et d’articuler plus vastement nos forces, nos contributions positives à différentes échelles transversalement interactives, de manière pratique, localement et globalement. Précisément, la démocratisation et la multiplication des outils de qualité de définition du positif , du progrès d’intérêt général, est plus que jamais condition sine qua non de son avènement, et peut enfin permettre la libre identification et l’optimisation de nos potentialités : de nos richesses, énergies, facultés et ressources ; de nos originalités, du patrimoine et potentiel humain, du sens de la liberté.
On peut à présent utiliser directement et très largement une méthode évolutive offrant une alternative, une option politique noétique, une solution de mise en cohérence transdisciplinaire, socio-médiatique,-environnementale et-économique ; une voie sociopolitique clairement identifiable, qui permet une articulation pertinente des différents plans complémentaires (méthodologique, médiatique et pratique) de la démocratisation réelle, métaétatique, gouvernatique, de nos enjeux collectifs – et permet ainsi l’optimisation des moyens de concrétisation des principes fédérateurs, de la raison d’être constitutionnelle et institutionnelle.
Localement et globalement ; transversalement, interculturellement. Par ceux d’entre nous qui ont identifié l’incohérence de plus en plus remarquablement paradoxale et redoutable des propositions de développement d’intérêt général ; des méthodes “démocratiques” qui n’optimisent pas leur propre démocratisation, leur véritable potentiel, et la condition de concrétisation de leur raison d’être, de leur légitimité et de leur efficience.
Si cette synthèse peut sembler technique, ou sous certains aspects incongrue, l’ontologie, la forme, les sigles, le vocabulaire de cette approche n’ont bien sûr pas d’importance. Son style est à considérer avec indulgence : elle tente de faire collaborer divers axes perceptifs, concepts et sémiologies complémentaires, et par un peu de spontanéité, de dérapage consensuel, les raisons intuitives et sensibles – humaines, universelles – de cette proposition.
Elle tente, également en l’occurrence, de se mettre en perspective avec d’autres recherches. Et notamment les travaux philosophiques et pratiques en cours à Plaine Commune, (menés en particulier via l’IRI (l’Institut de Recherche et d’Innovation) et l’association Arsindustrialis, sous la présidence de Bernard Steigler), qui apparaissent parmi les plus pertinents et riches de potentialités, et font appel aux concepts de disruption noétique néguentropique, par la systématisation socio-individuelle, et aux besoins de solution vectrice de sens, de capacités contributives noétiques. Et du CRI Le centre de recherche interdisciplinaire, et le projet « planète apprenante.
A ce propos
Le projet « plaine commune territoire apprenant contributif » est issu des mêmes constats et champs de recherches à l’origine du concept d’ABL, des protocoles et outils noétiques que constitue l’ensemble des travaux ci-dessus résumés, consistant à conceptualiser et aménager un ensemble dynamique cohérent : Un réseau de développement des Méthodes, Médias et Structures, à même de créer :
– Les outils intercontributifs intercomplémentaires : outils transfédératifs du Réseau 3D par le protocole RCE, les ABL et l’ABI. L’appareillage des territoires apprenants: de recherche, communication et expérimentation de nouveaux contrats sociaux de méthodologie de partage du travail et de redistribution.
– Les capacités noétiques, médiatiquement néguentropiques : les RCE, l’enquête P6, le label HQSE, les hyper-dossiers du pôle Média 3D… De certification de la conduite du changement ; de démocratisation transparente de l’état des lieux, de la définition des problématiques et des potentialités ; de déprolétarisation.
– Et les économies contributives: les moyens d’action concrètes, de liberté de pratique expérimentale, dans une pédagogie collective interdéfinie en transmission sans intermédiaires, collectivement enrichissante ; les Structures 3D (les ABL, l’ABI, les SCIC HQSE …), compatibles entre elles comme interinstitutionnellement, par leur objectif commun : la concrétisation de leur raison d’être, de l’intérêt général.
En outre, le dossier RCE «santé : qualité de vie et de domiciliation » (voir L’ALOH), d’abord orienté vers les liens unissant l’habitat, la santé et le lien humain (notamment en fonction des particularités relatives à l’assistance nécessaire en cas de handicap spécifique, des besoins gérontologiques, d’aide psychologique et psychiatrique) implique et enjoint de se tourner vers les recherches pour un habitat, un urbanisme citoyennement définis, optimisant la possibilité de citoyenneté – l’autonomie de subsistance (énergétique, alimentaire) et des capacités de développement, les conditions de santé, de conscientisation, de qualité de vie de chacun, le partage et l’enrichissement équitable et pleinement florissant de l’espace et des ressources communes.
En effet, la démocratisation et le juste développement des moyens de définition ontologique de l’information d’intérêt général, définissant la conscientisation des choix collectifs et la possibilité de choix individuels, devient la thématique fondamentale et principale des recherches citoyennes, qui globalement tentent de se fédérer, de potentialiser leurs efforts.
Le coeur des enjeux est la gestion des informations intimes et publiques, des métadonnées, des big datas: de leur sémiologie, sémantisation et géomatisation ; de la cartographie et la gestion du territoire ; de la définition des problématiques et des potentialités socio-environnementales ; et des moyens d’optimiser la transmission et la concrétisation des savoir-faire conscientisants, aptes à permettre le changement lucide et inspiré de paradigme qu’implique la révolution noétique de la quatrième révolution de l’Information.
L’enjeu principal de la communication d’une telle alternative organisationnelle sera précisément de se rendre pleinement accessible à toutes formes de compréhension:
– D’être globalement libre d’identification culturelle, pour être équitablement à tous, par une recherche d’ontologie universelle et par la mise en parallèle des diverses représentations, des mêmes concepts.
– D’enrichir librement, par la diversité de ses formes, l’expression et la réalisation de son sens collectif, son efficience en tant qu’outil noétique cohérent, pratique et utile en terme de qualité de vie concrète, individuelle et intercitoyenne.
– En somme, d’optimiser pleinement la logique et le potentiel démocratique, le contributionnel noétique, générateur de conscience, de liberté et de créativité socio-individuelle, d’intuitivité culturelle. Soit d’être protentionnellement (en auto-détermination comportementale volontaire) ataraxique et maïeutique ; néguentropiquo-conscientogène, noétiquanthropique.
La communication de cette alternative organisationnelle dépend ainsi de sa pluri-ergonomie: sa prise en main interculturelle comme intergénérationnelle, sa maniabilité et son adaptabilité ; son interactivité.
Ce processus d’organisation de l’information et du développement est en effet infiniment plus simple et rationnel que la machine à gaz délirante, le déni de révolution noétique et culturelle, la chose obsolète, fumeuse, grotesque et ravageuse actuellement dénommée gouvernement démocratique ou contrat social, utilisée pour méthode d’organisation collective, de gouvernance, de développement de notre qualité de vie.
Faisons les choses logiquement : Concrétisons en continu nos principes fédérateurs.
Maintenant que nous avons les moyens technologiques, culturels, et organisationnels, assurons en cohérence notre développement : les outils de démocratie pratiques, notamment pour la gestion de nos logistiques publiques ; les supports pertinents, dédiés à leur transparence et à la démocratisation de leur contributivité, à l’organisation de l’information publique du public – soit nos outils d’intercommunication, d’interapprentissage, d’échange direct (hors du leurre, du viol démocratique, infantilisant et prolétarisant de la représentativité), les outils constitutionnels et logistiques du contributionnel.
Le but est une définition collective des enjeux communs, de l’intérêt général, le pouvoir individuel d’être un véritable citoyen, celui de capitaliser et rationaliser ensemble, librement, nos besoins, nos potentialités et nos propositions; le pouvoir de définir démocratiquement les priorités, et l’organisation des supports contributifs les plus cohérents – la cohérence culturelle. On y verra plus clair et on y vivra mieux que dans l’hyperhiérarchisation des moyens de manipulation et d’exploitation des potentialités collectives.
D’autant que les alternatives riches de potentialités ne manquent pas, dans tous les domaines sociaux et environnementaux (informationnels, politiques, économiques, agronomiques, énergétiques, sanitaires ou pédagogiques) et que si, comme Einstein l’a dit (en gros…) on ne peut pas résoudre des soucis depuis le paradigme qui les crée … d’un autre côté, s’ils ne sont plus créés, ils n’existent plus; privés de cause, ils disparaissent (et on oublie … les raisons de la démocratie, du partage du pouvoir) . Il ne reste alors qu’à profiter des potentialités, potentiellement infinies. D’un nouvel état, comme dirait Tesla (pas la voiture super et chère, le génie de l’énergie gratuite et illimitée).
Chaque espace (structure 3D, ou ABL) est donc un outil de développement de la qualité de vie locale, et, en fonction de ses particularités, une interface de communication locale et globale. Cela implique l’intercompatibilité, l’intercommunicabilité (basées sur des principes fédératifs, de bon sens universel) de structures dédiées aux échanges et rationalisations globales, mais qui emploient pourtant, relativement à leurs spécificités, des méthodes et supports propres, autant en termes de développement local que de solutions interactives globales, multimédias, organisationnelles et pratiques. Ce qui crée en somme de l’intercompréhension culturelle et environnementale ; différentes ontologies des RCE ; de la néguentropie contributrice.
brouillon en cours de proposition collaborative : Comme pour les deux autres pôles, Média 3D n’a pas seulement pour objet de favoriser la concrétisation, la création et l’optimisation des supports de Communication adéquats, des œuvres médiatiques résultant des Recherches et Expérimentations des autres pôles, mais aussi, bien sûr, animé par le protocole RCE, de Rechercher les méthodologies de recherche et d’Expérimenter les solutions pratiques les plus pertinentes. Ainsi les trois pôles gouvernatiques ne sont pas divisibles entre eux. Et nous n’y sommes pas lobbytisables, lobotautomatisables, prolétarisables. Entre humains, chacun nourrit le patrimoine d’inspiration collective. Chacun, à son rythme, y est chef d’orchestre de multivers RCE, compositeur-interprète de mélodies contributrices, maître de ses RCE intimes, de son attention, de la conscientisation de sa protentionnalité, de son harmonisation: Néguendisruptivement (lié par les cycles entorsadés des RCE, en fibres P6, croissantes en nombre et en richesse ; une qualité du point et du tissu social en amélioration continue, en spirales coniques, culturellement autoprotoconscientogène…)
Et chacun sera à même de se poser sereinement les questions de pleine définition, et de libre participation, au Patrimoine commun (interconsciemment, transcontributivement constitué des apports passés et actuels, interculturels, humains et non humains, matériels et énergétiques, en somme cosmiques). Contexte sine qua non d’humanisation anthropocénique, terreau du partage du fertile, du pouvoir d’enrichissement. Chacun pourra définir en conscience l’offre paradigmatique et expérimenter ses conscientogénèsités …
Maintenant que tout est plus politique que jamais, où l’envers du décor le définit plus radicalement pour tous, à jamais, si nous n’y prenons garde… où notre environnement et nous-mêmes sommes entre nos mains, ou la conscience collective s’enrichit exponentiellement des liens entre consciences individuelles – mêlons-nous de nos affaires ! Le politique est obsolète, la Polítis renaît. Libérant la légitimité de rechercher, de communiquer et d’expérimenter en paix, la condition d’être humain (génie anthropologique d’adaptabilité et de sociabilité), de suivre et de développer son bon sens, sa dignité et ses nobles vertus ; de s’épanouir en conscience.
Une symbiose des positivités des recherches sociétales et de leurs acquis est ainsi logiquement en cours, allant vers une maturation socio-individuelle, la libération de l’individu du pouvoir d’autrui, de son pouvoir sur lui-même ; vers le consensus social (et non la liberté de capitaliser les pouvoirs d’exploitation de son prochain, l’antithèse démocratique nommée libéralisme).
Le but de chacun sera de donner une identité humaine, une âme, à son projet de développement, à sa culture et à sa société… Une conscience à sa gestion du commun, de lui-même, du vivant et de l’environnement. C’est une fin de guerre froide, de la schizophrénie cognitive et culturelle entre les pôles affectif et logique, empathique et égotique, socialiste et individualiste. Une prise (d’aïkido) de la conscience collective au calcul technocratique, à l’aveuglement citoyen; une nouvelle mise en lumière de nos potentialités. Pour une société composée d’individus enfin libres d’être fraternels et non d’entités mécanisées par leur système social, en compétition pour le développement de leurs capacités d’asservissement.
On identifie les soucis plutôt que les solutions et les moyens d’optimisation posologique (de médiatisation et concrétisation), les problématiques plutôt que les potentialités (les secondes étant infiniment plus déniées encore que les premières). Or une solution localement pertinente, pleinement adaptable tout en étant globalement compatible (par le développement concerté, local et global des capacités d’expression et d’entendement) peut maintenant nous concerner globalement, et généraliser sa part universellement fonctionnelle. En effet, si celle-ci répond pleinement aux enjeux locaux, c’est qu’elle peut remédier aux mauvais effets de « la mondialisation », ceux-ci étant, par définition, de plus en plus, partout les mêmes, ou de même cause.
Dans ce contexte, une bonne méthode menée au bout de ses potentialitées peut, en optimisant ses capacités contributives de démocratisation/fédération, tout changer pour le meilleur, menant logiquement au développement des autres, complémentaires. Quoi qu’il en soit, au vu de la situation (et parce qu’il n’y a pas de raison de se priver d’outils utiles), le développement synergétique du panel de solutions que constitue le programme 3D (racines, branches et liens polliniques protocolaires communs des ABL ; conditions de l’ABI) est infiniment plus pertinent, permettant de capitaliser et d’articuler nos forces, nos contributions positives* à différentes échelles transversalement interactives, de manière pratique, localement et globalement. (* La démocratisation de la définition du « positif », « du progrès d’intérêt général » est plus que jamais condition sine qua non de son avènement, et peut enfin permettre l’identification et l’optimisation de nos potentialités : énergies, facultés et ressources, originalités.)