La recherche de cohérence dans nos protocoles politiques : La gestion pertinentes des urgences, des capacités à faire évoluer les procédés dangereux et obsolètes. L’anticipation des impacts individuels, sociologiques et environnementaux. Par le référencement, la synthèse, communication et expérimentation, des meilleurs moyens de le faire avec une efficience optimale.
Si, en terme d’intérêt général, de bien commun, le Réseau des réseaux désigne les participations à des causes communes, l’enrichissement collectif, Alors l’enjeux du Réseau 3D est d’aménager les conditions logistiques de sa plaine capacitation.
Il s’agit, de fait, de celle de la capacitation citoyenne, celles de la possibilité et de la cohérence démocratique : de l’efficience politique, au sens cohérent du terme.
Son objet est le développement de la logistique permettant l’optimisation du collaboratif libre, la potentialisation des opportunités, inédites, de la gouvernatique, de l’open source métadémocratique … Du lien interindividuel, équitable et transfraternel, humain. Un dégourdissement de l’intelligence collective, l’attention sur le premier des patrimoine de l’humanité : les recherches transculturel de la conscience collective.
Le Réseau 3D, co-construit l’efficience de ce cerveau commun, du corps social et socio-envirronemental : il développement des méthodes conscientogène, pour sa capacitation noétique et pratique : des supports de recherche, de communication, et d’expérimentation concrète, des
Aussi, en pratique, il ne désigne pas les participants, mais promeut les participations. Sur le plan pratique, les la P6 et les RCE ne synthétise, de fait, que ce qui permet naturellement un processus de conscientisation, de progrès, soit de développement noétique individuel et collectif.
Ainsi, dans l’esprit du réseau, les enjeux de l’intimité; ceux de l’égo, de la liberté d’être, comme ceux de notre cohérence anthropologique, (aujourd’hui transcendés par les potentialités de « l’intelligence artificielle », et celle conférés au « transhumanisme »), sont parallèles, synchrones, de ceux concernant les besoins de l’instant. Il tâche d’être comme le monde , holistique.
La priorité est donc de codéfinir des méthodes de codéfinition de l’intérêt général et un support open source garantissant la gestion démocratique du traitement de l’information, le libre établissement du contexte et des possibilités, qui forment exponentiellement le patrimoine commun.
C’est en effet sur ce point que l’étude des conditions socio-écologiques de développement durable, ont orientées les recherches : vers les conditions de démocratisation de la définition de l’intérêt général, de l’information et du développement, de la gouvernance. Elles ont aboutit à la conception d’outils collaboratifs, de définition de l’intérêt général, ainsi qu’à un panel de projets inter-dynamiques concernant les différents secteurs d’activité du développement durable.